Comment réussir sa première année de médecine

Cette première année est validée par le passage d’un concours réputé extrêmement difficile. En fait, la grosse inconnue en entrant en faculté de médecine est surtout le niveau des autres étudiants. Les programmes sont connus et donc accessibles à tous. Quelques bonnes habitudes à prendre peuvent aider à réussir cette épreuve de sélection dont la réputation décourage trop de personnes pourtant motivées.

 

Rigueur et respect de la cadence de travail

Le premier conseil est valable pour tous les étudiants depuis leurs classes de primaire jusqu’à la fin des études. La régularité est primordiale. Tout d’abord, la présence en cours est de rigueur. En effet la transmission par un enseignant peut dévoiler des aspects nécessaires à la compréhension de certains concepts qui passeraient totalement inaperçus à une simple lecture des notions abordées.  Il est également bénéfique d’établir un emploi du temps des apprentissages et révisions les soirs et week-ends. La rigueur est également une clé importante. La lecture des cours du jour le soir même, permet une mémorisation optimum. Le cerveau continue de travailler même pendant le sommeil.

 

Agir dès qu’on est décidé à s’inscrire en 1ère année de médecine

Les élèves savent souvent longtemps à l’avance s’ils veulent devenir médecin.  Ils sont pour la plupart inscrit en S. Ces personnes ont donc déjà un esprit logique et une capacité de synthèse dont elles doivent se servir pour se préparer sérieusement à la première année de médecine dès la terminale S. Et oui ! dès la 1ère ou la Terminale, il semble judicieux de s’entrainer à travailler beaucoup et acquérir des méthodes performantes de mémorisations et restitution des concepts et notions. Et pourquoi pour ceux qui en ont le temps, de commencer l’étude des matières de 1ère année.

 

Une organisation de ministre

Durant ce parcours, il est important de veiller à rester concentrer. Seule une bonne organisation le permettra. Le temps de révision accordé au métabolisme doit être utiliser UNIQUEMENT à cet effet. Il faut évaluer le temps nécessaire à une mémorisation efficace. Une des méthodes les plus utilisées est de lire et relire les cours jusqu’à les connaître par cœur. De plus, il est très utile de prévoir également des séances d’interrogations avec les autres étudiants. Le temps imparti doit être respecté et les questions / réponses doivent fuser de toutes part.

 

Savoir se reposer

Il est facile de se laisser entrainer dans des habitudes de travail et de négliger les besoins en termes de repos et loisirs. L’organisation de l’étudiant pour être réellement efficace doit tenir compte du temps de sommeil nécessaire et spécifique à chaque individu. La journée sera aménagée différemment que l’on ait besoin de 4h de repos dans la nuit ou au contraire que l’on soit un gros dormeur. De même, il serait totalement contreproductif de cesser totalement le sport en intégrant l’école de médecine. Là encore, il faut adapter son emploi du temps en fonction de ses habitudes de vie. Un grand sportif a besoin de deux ou trois séances par semaine pour garder le moral.

 

Se rappeler pourquoi et comment on est arrivé en 1ère année de médecine.

Parfois, lorsque la fatigue gagne du terrain, que l’on se sent découragé, il est bon de se remémorer ses motivations et de se faire à nouveau confiance. En effet, quelles sont les raisons qui ont fait que l’on se retrouve à travailler si dur ? Quelles sont les capacités dont on dispose ? On n’arrive pas en médecine comme on achète une glace. Les étudiants inscrits savent tous les sacrifices nécessaires à la réussite, et sont donc partis en ayant confiance en leurs capacités. Ces compétences n’ont pas disparu par fatigue, s’en souvenir fait souvent du bien.

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